lundi 16 février 2009

Tu me manques terriblement


Voilà une semaine que tu es partis

Une semaine où je ne cesse de penser à toi

Tu me manques terriblement et mon coeur ne cesse de pleurer
Tu me manques, je pleure c'est si difficile

Tu es partis ce lundi 9 févier
Tu es partis alors que nous croyons tous que tu allais mieux, tu remangeais correctement,

Tu rejouais

Ce matin là nous avons joué ensemble, nous nous sommes courus après tous les deux dans la maison, que tu étais joyeux, tu étais allé nous chercher ta petite balle.


Comme tu étais beau et tu le resteras toujours

Et puis comme tous les matins depuis presque 14 ans, je t'ai emmené chez mémé et pépé (mon papa et ma maman) où tu passais tes journées, bien choyés, heureux comme un petit roi.

Tu as eu subitement un gros malaise et ma maman m'a appelé, j'étais en réunion mais pour toi mon petit ange, je suis rentrée tout de suite.

Je t'ai mis ton petit manteau et ensuite je t'ai enroulé dans une chaude couverture, tu étais si triste, tu ne tenais plus debout, j'avais très peur, ma maman est venue avec moi et mon papa attendait à la maison, Philippe s'inquiètait mais ne pouvez quitter son travail, nous sommes partis chez ta gentille vétérinaire qui t'avais bien soigné, mais voyant ton état, j'avais terriblement peur de son diagnostic.

Je pensais à une gastro, mais non dans la voiture tu as hurlé comme un loup, mon pauvre petit amour, que je suis malheureuse sans toi.

Elle t'a très bien osculté mais tu souffrais, elle m'a tout expliqué en détail, ton ventre était très dur et il te faisait très mal, tu vomissais, ta peau était très blanche, ton petit coeur battait très vite, tu tremblais et ta tempèrature était très basse, elle nous a proposé deux solutions, soit te maintenir sous perfusion à la clinique pour combien de temps, une nuit, deux jours, trois jours où cette solution qui m'effrayait le plus, alors je pleurais, pleurais, elle m'a alors parlait calmement en m'expliquant que tu souffrirais de plus en plus et qu'elle même à ma place serait dans le même état sachant que pourtant elle était véto.


Philippe m'a alors appelé sur le portable et j'ai essayé comme je pouvais de lui expliquer ! qu'elle douleur en moi, nous avons choisit avec beaucoup de mal de soulager tes souffrances (ton petit coeur, ton foie et ton pancréas), je suis restée avec ma maman auprès de toi jusqu'au bout, te caressant, te parlant, t'embrassant, je t'aime mon petit trésor, je t'aime, tu me manques.


Tu t'es endormis, comme apaisé, et ton petit coeur s'est endormi à tout jamais... Nous t'avons ramené à la maison dans le jardin où tu aimais tant te promener.
Pourquoi, pourquoi, tu ne connaîteras jamais notre petite Monise, ta petit soeur Timounette, tu ne l'auras vu que sur photo, nous aurions tellement aimé que tu sois là pour son arrivée, toi qui aimais les enfants, qui étais si gentil. Tu es irremplaçable. Je t'aime.

Je haie les OAA, à cause d'elles tu es partis sans connaître cette arrivée tant attendue et dont je t'avais si souvent parlé, tu te rappelles tout ces rendez-vous où je rentrais à la maison stressé mais toi tu étais là pour me consoler, surtout ne m'oublies pas, moi, nous, ne t'oublierons jamais, nous sommes si triste, tu étais un membre de notre famille et aujourd'hui nous sommes si malheureux.
Ai-je pris la bonne décision ? je me le demande encore, je pleure, je pleure et je pense tellement à toi tout ces merveilleux moments passés ensemble, nous t'emmenions partout, tu étais un membres de notre famille, nous t'aimions, t'adorions.
Reposes en paix et n'oublies jamais que nous t'aimons tous très fort, nous ne t'oublierons jamais, je ne t'oublierais jamais et veilles sur notre petite Timounette.
Je t'aime, tu seras à jamais dans mon coeur
Marie